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samedi 27 janvier 2018

SOIGNEZ VOTRE RELATION A VOUS-MÊME


Bien chers amis, comme nous le disons dans le message de la semaine passée, nous sommes fondamentalement faits de relation. Nous sommes un être de relation. Nous pouvons déceler sept types de relations dans la vie d’une personne. La relation à nos parents, la relation aux enfants, la relation amoureuse, la relation professionnelle, la relation à l’univers (cosmos), la relation à Dieu et la relation à soi-même. La plus importante des relations est la relation à soi. Les autres relations dépendent de la qualité de cette dernière. En ce sens, quatre encrages sont nécessaire : S’aimer, se responsabiliser, se respecter et rester fidèle à soi-même.
S’aimer, c’est savoir connaître ses limites et savoir dire « non » pour des situations qui ne nous agréent pas. Si nous ne sommes pas bienveillant envers nous-même, la vie ne nous aime pas. Je me souviens de cette jeune femme qui se plaint de ne pas rencontrer son âme sœur. Un gentleman qui l’aimerait et lui témoignerait de la tendresse. En observant sa vie, je remarqué qu’elle est toujours affairée à chercher de l’agent. Elle n’a jamais de temps pour elle-même. Pas de repos. Elle travaille tous les jours. Comment les autres vont vous voir si vous ne vous voyez pas vous-même ? Le philosophe et psychologue américain, William James (1842-1910), avait bien raison quand il disait dans son ouvrage “Précis de psychologie” (1999) que « l’amour de soi est le produit d’un écart suffisamment mince entre nos ambitions et nos réussites effectives ». Donnez du temps à vous-même. Appréciez-vous. Et vous verrez que la nature vous complètera ce qui vous manque.
Le respect de soi commence par l'acception de vous tel que vous êtes et la décision d’apprendre à bien vous connaître. Cette prise de position passe par le respect de la personne que vous êtes en acceptant de travailler pour devenir celle que vous avez toujours rêvé de devenir. De cette manière en ayant du respect pour vous, en étant heureux d'être qui vous êtes, les autres autour de vous auront du respect et de l'admiration pour vous.
Soigner la relation à soi-même, s’inscrit également dans l’engagement à demeurer fidèle à soi à même. Être fidèle à soi-même, c’est connaître ses limites aussi, savoir ce que l’on veut réellement, apprendre à écouter ses désirs tout en restant libre… Enfin, c’est être sincère envers soi-même. Et reconnaître, avant tout, que la connaissance de soi s’épanouit dans le dialogue et la connaissance de l’autre.
Être responsable, c’est non seulement savoir demander, mais aussi et surtout savoir recevoir, donner et refuser au moment opportun. Bien chers amis, une bonne relation à soi consiste à harmoniser l’amour de soi, la responsabilité, le respect de sa personnalité et la fidélité à ses idéaux personnelles. Je décrète un mois de février béni pour vous. 😊


Coach COMLAN Bernard
Coach Professionnel Certifié
Psychologue Clinicien
(00229) 95289985
(00228) 93955633
coachdeviecomlan@gmail.com


vendredi 19 janvier 2018

BESOINS RELATIONNELS HUMAIN ET LE COURAGE D’ÊTRE SOI



L’homme est un être de relation. Il se nourrit de relation : relation aux parents, relation aux enfants, relation dans le couple, relations sociales et professionnelles, relation à l’univers, relation à Dieu, relation à soi-même, etc. Plusieurs études mettent en évidence les besoins relationnels Humains et la manière de les prendre en charge. 
Nous pouvons mentionner entre autres les travaux de Ryan et Deci (2000) sur les besoins psychologiques fondamentaux (appartenance sociale, compétence et autonomie) ; ceux du psychologue américain William Schutz (1925-2002) sur les besoins interpersonnels et l’estime de soi ; ceux d’Abraham Maslow (1908-1970) sur la hiérarchie des besoins, ceux de Virginia Henderson (1897-1996) sur les 14 besoins humains à satisfaire dans la prise en charge globale du patient, ceux de Jacques Salomé sur les besoins relationnels qui sont à la base de notre développement personnel au sein de nos différents environnements ; … Cette abondante littérature sur les besoins relationnels humains témoigne du fait que nous sommes fondamentalement un être de relation et que nous avons besoin de soigner nos diverses relations. Eu égard à cela, il urge donc d’établir des « règles d’hygiène relationnelle » comme l’a si bien dit le psychosociologue Jacques Salomé, l’un de nos mentors préférés. Combler les besoins relationnels, signifie, prendre soin de notre estime de soi et améliorer la qualité relationnelle que nous entretenons avec nos semblables. C’est l’une des manières fortes de prendre soin de notre estime de soi. 
Quand nous décidons d’apprendre à nous aimer et à être fidèle à nous-même ; lorsque nous savons restituer symboliquement la définition que l’autre donne de nous et qui ne nous fait pas du bien, nous soignons la relation à nous-même. Ne nous laissons jamais définir par les autres. Nous ne sommes pas, peut-être, toujours responsables de ce qui nous arrive, mais nous sommes toujours  responsables de ce que nous en faisons. 
Quand j’étais au cours primaire au CM1, mon maître me terrorisait par les coups de courroie de moto-bécane qu’il déployait sur mon corps chaque fois que j’oubliais un mot des leçons à réciter. Dès que je le voyais, je suis mort de terreur au point que les muscles de ma vessie se lâchent et mon caleçon est mouillé d’urine… Il a dit à mes parents de ne pas gaspiller leur argent sur ma scolarité. Car selon lui, « je suis une crevette qui n’a pas d’intelligence ». Il a même aidé mon père à m’inscrire dans un atelier de couture... Mais, je savais au plus  profond de moi que je ne suis pas la définition qu’il donne de moi. Je suis simplement MOI. Je suis une infinité de possibilités. Mais surtout pas une crevette sans cervelle. Aujourd’hui, bien chers amis, j’ai de diplômes universitaires contrairement à ce maître, expert en détection des élèves-crevettes qui n’ont pas d’intelligence. Lui, il n’a jamais mis pieds dans une université dans sa vie. Je voudrais nous inviter à sortir de la victimisation et prendre la responsabilité de notre vie. Dans ma relation avec mon maître, il est responsable de sa connaissance et de ses observations. Moi, je suis responsable de ma réponse à ses observations. Accédez à votre propre définition de vous-même. Ne permettez JAMAIS à autrui (qui qu’il soit) de définir qui vous êtes. 
De même, dans vos relations, permettez à l’autre de se dire et d’être entendu dans le registre qui est le sien, d’être reconnu, d’être valoriser, de rêver et de créer. Nous y reviendrons dans le message de la semaine prochaine. Bien de choses chez vous.

Coach COMLAN Bernard
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lundi 1 janvier 2018

JOUEZ LE JEU DE LA VIE DANS LA DÉTENTE



La vie est un jeu et il faut la vivre dans la détente et dans l’action. D’après le Nouveau Petit Robert (2010), le terme « jeu » vient du latin « jocus » qui signifie « plaisanterie, amusements ». Le jeu est donc une activité divertissante, soumise ou non à des règles, pratiquée par les enfants de manière désintéressée et par les adultes à des fins parfois lucratives. 
Le jeu est partout. Il semble impossible d'imaginer qu'on puisse un jour découvrir un groupe humain dans l'existence duquel l'activité de jeu serait totalement absente. Les jeux sont des constantes de culture dont les formes peuvent varier d'une aire culturelle à une autre. C’est vrai que depuis l’Antiquité, on trouve le cliché du jeu comme apanage de l’enfance, avec quelques exceptions : jeux sacrés et/ou divinatoires, jeux d’argent et autres jeux à enjeux d’adultes. On s’est aperçu, par exemple que pour devenir bon coureur ou un bon guerrier, il valait mieux jouer à se courir après, ou jouer à se battre avec ses copains plutôt que de lire des bouquins sur la course ou le combat. 
Mais, par-delà cette diversité infinie, l'universalité du jeu le désigne comme un élément fondamental de la condition humaine. Le jeu est un invariant humain. Autrement dire, il n’a pas de vie sans jeu. Le jeu est inhérent à toute vie humaine. L’une des premières activités spontanées du nouveau-né est le jeu. Il joue avec le visage de sa maman. Il joue avec les seins de sa maman. Il découvre son environnement à travers le jeu. Le jeu est ainsi la première porte de découverte du monde de l’enfant. En grandissant et avec le jugement des éducateurs, l’enfant perd cette aptitude et « devient sérieux » comme le recommandent ses éducateurs.
Puisque l’intelligence humaine fonctionne par déduction, il apparait que toute la vie de l’homme est un jeu dont chacun en est le personnage principal, le héros. Toute expérience humaine est le résultat d’un choix (inconscient dans la plupart des cas). 
Choisissons, chers amis, de vivre toute expérience de cette année 2018 comme un jeu. C’est-à-dire une occasion où nous allons mettre en pratique tout ce que nous avons appris dans notre vie, croisé avec notre savoir-être, notre savoir-faire, organisé et personnalisé par notre intuition. Ainsi, nous pouvons déduire une leçon de la vie et mieux s’armer pour une expérience future.
Il est absurde de se fâcher ou de se mettre dans un sentiment de regret quelle que soit la situation que nous vivons. Nous apprenons toujours. Il suffit d’accepter la situation et notre cerveau nous montrera les éléments nouveaux dont nous avons besoin pour grandir. Mais si nous n’acceptons pas l’expérience « désagréable » que nous venons de vivre, nous sommes contraint à la répéter. C’est pourquoi, il est important d’utiliser tous les moyens personnels pour vivre dans la détente et dans l’acceptation de notre vie. Passez une bonne année 2018 dans la détente, la sérénité et la joie de vivre. 😊😊

Coach COMLAN Bernard
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