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mercredi 9 mai 2018

LA VÉRITÉ AVEC SOI-MÊME EST LE CHEMIN D’OR DU DÉVELOPPEMENT PERSONNEL.




Vous pouvez mentir aux autres autant que vous voulez. Mais avec vous-même, soyez vrai si vous vous engagez sur le chemin de votre développement personnel. C’est le troisième  et dernier principe que j’ai tiré de mon expérience de la pratique de la pensée positive.  
Être vrai avec soi nécessite d’abord d’être soi, mentionne Moussa Nabati, psychanalyste et psychothérapeute, dans son livre, intitulé Bonheur d’être soi (LGF, “Le Livre de poche”, 2008). Or, « être soi suppose que l’on ait la capacité de désirer, de penser, de parler en son nom propre, cela s’appelle être autonome. » Ce qui signifie savoir (se) dire non, être « décollé » des attentes et projections parentales, et ne pas être soumis aux normes collectives, sociales et culturelles. Cette autonomie psychique s’acquiert tout au long de l’enfance et de l’adolescence. Cela implique de grandir dans un climat d’amour et de loi, où les parents aiment et respectent l’enfant dans sa singularité, tout en lui fixant des limites. Cette double condition permet à l’enfant de « s’individuer » en sécurité : il peut faire progressivement connaissance avec lui-même, donc avec son désir, sans se censurer, se sentir coupable ou se mettre en danger. Au quotidien, le laisser choisir ses vêtements, respecter ses goûts et dégoûts alimentaires, solliciter son avis, ne pas moquer ses initiatives, être attentif à ses émotions et à ses besoins sont autant de moyens de le reconnaître comme sujet.
C’est ainsi que, plus tard, « il ne dépendra pas du regard et du désir des autres, explique Françoise Millet- Bartoli, psychiatre et psychothérapeute, auteure de La Crise du milieu de la vie (Odile Jacob, “Poches”, 2006). « Il fera des choix qu’il pensera être justes pour lui, prendra position sans chercher la validation d’autrui et ne fuira pas les conflits ».
Selon Moussa Nabati (2008), il existe trois obstacles majeurs à la capacité d’être vrai avec soi-même, qui prennent racine dans l’enfance : les maltraitances physiques et psychiques, les épreuves touchant l’un des parents (divorce, maladie grave, décès) et « mal gérées » par l’autre, et, enfin, tout ce qui fait de l’enfant le prisonnier d’un amour parental « intéressé » (fusionnel, hyperanxieux ou axé sur la performance…). 
Quiconque désire arpenter le chemin de sa croissance personnelle, de son développement personnel, doit impérativement apprendre à répondre à son besoin de retrouver son “vrai moi”, de se dégager du regard des autres pour vivre vraiment sa vie. Oui chers amis, le candidat au développement personnel doit constamment se rencontrer lui-même. C’est à ce prix qu’il découvrira ses réelles motivations, ses vrais objectifs qui le conduiront à une réussite sûre et durable. Bien de choses chez vous !  😊


COMLAN K. Bernard
Coach de Vie/Psychologue
(00229)96476681/(0028)93955633

mardi 1 mai 2018

« IL Y A TROIS CLASSES DE TRAVAILLEURS… »






Depuis mon dernier poste, plusieurs personnes m’ont écrit et voudraient savoir comment la recherche effrénée de quelque chose peut créer de frustration dans sa réalisation ? (Voir les postes sur https://coachdeviecomlan.blogspot.com/2018/04/contraste-mental-strategie.html). Ce jour 1er mai, fête du travail m’a fait rappeler les études de Richard INGALESE (Le pouvoir de l’esprit, 1980 : 117-124) sur la loi d’opulence qui illustre fort bien mes propos. Il y a trois classes de travailleurs : les travailleurs manuels, les travailleurs à la fois manuels et intellectuels, et las travailleurs intellectuels purs.
Les premiers constituent la masse de l’humanité, les seconds reconnaissent que le mental a un pouvoir extraordinaire : ils l’utilisent, mais l’appliquent au travail matériel.
La troisième classe comprend tous ceux qui sont uniquement des travailleurs mentaux ; ils ont appris à « programmer » les vibrations positives de l’objet de leur rêve dans la détente et dans la joie, en toute confiance parfaite au pouvoir divin qui meut quotidiennement leur vie. Ils reçoivent tout ce qu’ils demandent sans une poursuite obsessionnelle de l’objet de leur rêve. Ils sont les usagers conscients de ce que notre auteur nomme la loi de l’opulence.
Chaque individu se place dans l’une de ces trois catégories selon son degré de développement personnel ou encore son degré de maturité. Dans la première catégorie, la loi d’opulence ne se manifeste jamais. Ceux qui travaillent uniquement avec force de leurs mains et individuellement ne peuvent jamais acquérir l’opulence. Ils gagnent leur vie, quelque peu plus, et c’est tout. La loi commence à se manifester dans la seconde catégorie et, par des graduations lentes, se manifeste pleinement dans la troisième. Chaque individu dans le cours de sa vie, passe nécessairement dans ces trois classes.
Selon moi, cette loi d’opulence est applicable dans chaque domaine de notre vie. Quel que soit notre objectif, si nous mettons tout en œuvre comme si tout dépendait de nos efforts physiques, sans le concourt de notre mental, il est fort probable que sa réalisation nous soit désagréable. Je vous encourage donc à décréter la réalisation heureuse de votre objectif et à poser des actions qui vous sont inspirées en conséquence. Bonne fête du travail à chacun et à tous.
PS : J’aborderai dans mon prochain poste, le troisième principe de la pensée positive qu’est « la vérité avec soi-même est le chemin d’or du développement personnel ».



COMLAN Bernard
Coach de Vie/Psychologue
(00229) 96476681/(0028) 93955633
Facebook : @coachdeviecomlan
http://coachdeviecomlan.blogspot.com


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